La partie haute:
Les rosières constituent un habitat des plus importants pour la reproduction de certaines espèces d'oiseaux qui trouvent là, nourriture et protection. Leur maintien est donc primordial.(Râle d'eau, Bruant des roseaux, Bergeronnette printanière, Rousserolle effarvatte etc... )
Ces prés ont été gagnés sur d'anciennes zones humides par la construction de digues empêchant l'entrée d'eau salée. Un système d'écluse permettait d'écouler le surplus des eaux pluviales.
Les rosières constituent un habitat des plus importants pour la reproduction de certaines espèces d'oiseaux qui trouvent là, nourriture et protection. Leur maintien est donc primordial.(Râle d'eau, Bruant des roseaux, Bergeronnette printanière, Rousserolle effarvatte etc... )
Ces prés ont été gagnés sur d'anciennes zones humides par la construction de digues empêchant l'entrée d'eau salée. Un système d'écluse permettait d'écouler le surplus des eaux pluviales.
Entre Murueta / Axpe sur la rive gauche et Arteaga / Kanala sur la rive droite. Ici on note une influence marine importante et le marais prend ici toute son ampleur. Les marées conditionnent la vie dans l'estuaire en créant un milieu hostile pour la plupart des plantes. Cependant, un petit groupea développé une adaptation au milieu qui leur permet d'affronter
avec succès la salinité, l'inondation au grés des marées, la
mouvance du sol et le manque d'oxygène. La distance du canal central
conditionne la distribution des plantes.
Sur le bord même du canal on trouve exclusivement ou
presque, l'herbe marine, rare et protégée, qui en dehors des grandes
marées, reste en permanence sous les eaux.
Puis on trouve des bandes formées par la spartéine marine et les salicornes.
Un peu plus loin, Halimione portulacoides et limonium vulgare (rare et protégée par la loi) marquent le niveau moyen des marées dans tout l'estuaire.
Enfin, sur les prairies en permanence humides, les joncs et les roseaux, véritable zone de transition entre le marais et la terre ferme, refuge naturel de bien des oiseaux migrateurs mais aussi aire de nidification par excellence de quelques espèces. La protection de cet habitat s'impose donc.
Puis on trouve des bandes formées par la spartéine marine et les salicornes.
Un peu plus loin, Halimione portulacoides et limonium vulgare (rare et protégée par la loi) marquent le niveau moyen des marées dans tout l'estuaire.
Enfin, sur les prairies en permanence humides, les joncs et les roseaux, véritable zone de transition entre le marais et la terre ferme, refuge naturel de bien des oiseaux migrateurs mais aussi aire de nidification par excellence de quelques espèces. La protection de cet habitat s'impose donc.
A signaler aussi la présence de quelques arbres supportant un fort degré de
salinité et l'inondation temporaire: le tamaris, la saule commun et, prés
de l'influence des eaux douces, l'aulne qui occupe les fondrières. A Busturria,
à proximité du marais, on observe également une zone terrestre artificielle
composée de dépôts de sable provenant du dragage de la Ria
sur d'anciens
polders. Cette zone abrite aujourd'hui, 30 ans après sa création, une flore
adaptée à un substrat pauvre et sec: lagure ovale, camomille, liseron
terrestre, mélilot blanc....
En lisière
de cette zone abondent malheureusement des plantes invasives (Pampa, Baccharia)
provenant d'autres continents et qui éliminent dans bien des cas les plantes
locales.

Suite à une grosse tempête, les dunes de Laida ont disparu vers
1950, et l'action du vent et de la mer ont alors empêché la récupération de la
flore. Depuis 1999, le "Patronato d'Urdaibai" a lancé un projet de
récupération de la plage par la restauration de la dune. Les dunes sont
l'habitat du littoral le plus inhospitalier, dans lequel vivent pourtant des
plantes et des animaux singuliers, la plupart d'entre-eux en danger
d'extinction.
Les dunes consolident et protègent la plage en évitant les pertes de sable. Leur stabilisation évite aussi le transport de sable vers l'intérieur de l'estuaire, limitant ainsi son ensablement.
Bibliographie :
Site 1: Ecosystèmes Urdaibai
consulter le: 11/11/2013
Disponible sur: http://ecosysthemurdaibai.blogspot.com.es/p/blog-page.html
Les dunes consolident et protègent la plage en évitant les pertes de sable. Leur stabilisation évite aussi le transport de sable vers l'intérieur de l'estuaire, limitant ainsi son ensablement.
Bibliographie :
Site 1: Ecosystèmes Urdaibai
consulter le: 11/11/2013
Disponible sur: http://ecosysthemurdaibai.blogspot.com.es/p/blog-page.html
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