
La biodiversité c'est l'ensemble de tous les êtres vivants de notre planète. C'est un mot composé à partir des mots « biologie » et « diversité ». On appelle biodiversité, la variété de la vie. La biodiversité est présente à tous les niveaux de la vie.
Qu’est-ce-qu’elle nous apporte ?
Elle nous apporte des nutriments, du dioxygène et des médicines.
Quels dangers porte t-elle?
La première cause de ces disparitions de la biodiversité est la dégradation des écosystèmes, accélérée depuis 50 ans. Si cela est dû en partie à l'expansion de la population mondiale, la société de consommation a ses responsabilités : dans le monde 20 % des hommes consomment 86 % des ressources de la Terre.
Les végétaux fournissent notre oxygène, les forêts et les zones humides purifient notre eau, les plantes sont les seuls médicaments de plus de la moitié de la population mondiale. Nombre de petits animaux évitent la prolifération de maladies chez l'homme en stockant les agents pathogènes... Nous avons besoin de la biodiversité. Maintenant, la biodiversité a besoin que nous la respections.
Qu'est-ce-qu'un écosystème?
Sur le bord même du canal on trouve exclusivement ou presque, l'herbe marine, rare et protégée, qui en dehors des grandes marées, reste en permanence sous les eaux.
Puis on trouve des bandes formées par la spartéine marine et les salicornes.
Un peu plus loin, Halimione portulacoides et limonium vulgare (rare et protégée par la loi) marquent le niveau moyen des marées dans tout l'estuaire.
Enfin, sur les prairies en permanence humides, les joncs et les roseaux, véritable zone de transition entre le marais et la terre ferme, refuge naturel de bien des oiseaux migrateurs mais aussi aire de nidification par excellence de quelques espèces. La protection de cet habitat s'impose donc.
Qu'est-ce-qu'un écosystème?
Un écosystème est un ensemble constitué par un milieu, et les êtres vivants qui y vivent. Il existe un grand nombre d'espèces différentes dans un même écosystème, et de nombreux écosystèmes différents sur Terre : ce sont deux aspects de la biodiversité.Dans un même écosystème, les différents êtres vivants interagissent les uns avec les autres : les prédateurs chassent leurs proies, certains êtres vivants vivent en symbiose, etc.
Partie centrale
Les marées conditionnent la vie dans l'estuaire en créant un milieu hostile pour la plupart des plantes. Cependant, un petit groupe a développé une adaptation au milieu qui leur permet d'affronter avec succès la salinité, l'inondation au grés des marées, la mouvance du sol et le manque d'oxygène. La distance du canal central conditionne la distribution des plantes.Sur le bord même du canal on trouve exclusivement ou presque, l'herbe marine, rare et protégée, qui en dehors des grandes marées, reste en permanence sous les eaux.
Puis on trouve des bandes formées par la spartéine marine et les salicornes.
Un peu plus loin, Halimione portulacoides et limonium vulgare (rare et protégée par la loi) marquent le niveau moyen des marées dans tout l'estuaire.
Enfin, sur les prairies en permanence humides, les joncs et les roseaux, véritable zone de transition entre le marais et la terre ferme, refuge naturel de bien des oiseaux migrateurs mais aussi aire de nidification par excellence de quelques espèces. La protection de cet habitat s'impose donc.
Plantes adaptées à ce milieu
Paradoxalement, une plante qui pousse les pieds dans l'eau de mer est dans la même situation que celle qui pousse en zone aride : elle manque d’eau. Présent en trop grande quantité, le sel limite l'absorption de l'eau par les racines. Soulignons que les doses auxquelles il devient toxique varient d'une plante à l'autre. Certains végétaux, qualifiés d'halophytes, offrent même une remarquable adaptation aux milieux salés.
Par exemple:Zostera nolti, Spartina marítima,Halimonie portulacoides,Salicorniaramosissima,Phragmites australis,Juncus maritimus,Tamarix gallica,Cortedaria selloana et Baccharis halimifolia
Importance du limon
Les rivières (Oka et Mape essentiellement) apportent des sédiments fins d'origine terrestre et la mer, qui a perdu de sa force dans la barre de Laida transporte des sédiments d'origine maritime. Cette rencontre entre marées et rivières provoque le dépôt des sédiments dans les zones d'inter marées et se forme alors le limon, un substrat fin et vaseux.
C'est dans ce limon que commence le cycle de vie du marais et des études ont démontré que dans ces zones marécageuses, la quantité d'aliments générée est 7 fois supérieure à celle produite par un champ de blé. Dans cette vase se cachent, s'alimentent et se reproduisent d'énormes quantités de mollusques, vers et autres crustacés qui constituent l'alimentation de base des oiseaux. Leur importance écologique est indiscutable. Ils filtrent le limon à la recherche d'aliments et diminuent l'important taux de matière organique. Le marais se comporte comme une énorme dépuratrice qui transforme les résidus organiques en aliments qui, par le biais des marées enrichiront le littoral proche et favoriseront la présence de nombreux bancs de poissons.
C'est dans ce limon que commence le cycle de vie du marais et des études ont démontré que dans ces zones marécageuses, la quantité d'aliments générée est 7 fois supérieure à celle produite par un champ de blé. Dans cette vase se cachent, s'alimentent et se reproduisent d'énormes quantités de mollusques, vers et autres crustacés qui constituent l'alimentation de base des oiseaux. Leur importance écologique est indiscutable. Ils filtrent le limon à la recherche d'aliments et diminuent l'important taux de matière organique. Le marais se comporte comme une énorme dépuratrice qui transforme les résidus organiques en aliments qui, par le biais des marées enrichiront le littoral proche et favoriseront la présence de nombreux bancs de poissons.
Impact humain
Le développement d’une seule espèce l’Homme, met en péril la biodiversité. L’accroissement phénoménal de la population humaine au cours des derniers siècles, passant d’un milliard d’individus en 1800 à 6 milliards au début du XXIème a de multiples conséquences sur la biodiversité.
Le développement des terres agricoles et des villes transforme des espaces naturels, on parle de changements d’occupation des sols. Les conséquences sur les habitats naturels sont une destruction directe mais aussi une fragmentation : ils sont de plus en plus petits et de plus en plus isolés les uns des autres. En un peu moins de 10 000 ans, on estime que les deux tiers de la surface du globe ont été modifiés. En France, l’équivalent de la surface d’un département est urbanisé tous les sept ans.
Plantes invasives
Les scientifiques ont défini ces espèces selon des critères précis. Les plantes invasives sont des espèces végétales qui :
ont été introduites par l'homme (volontairement ou accidentellement) en dehors de leur aire de répartition naturelle (ce sont les espèces dites 'exotiques')
ont été introduites après 1500
sont capables de se naturaliser, c'est-à-dire capables de survivre et de se reproduire dans la nature
présentent de grandes capacités de dispersion conduisant à une forte augmentation de leurs populations.
ont été introduites par l'homme (volontairement ou accidentellement) en dehors de leur aire de répartition naturelle (ce sont les espèces dites 'exotiques')
ont été introduites après 1500
sont capables de se naturaliser, c'est-à-dire capables de survivre et de se reproduire dans la nature
présentent de grandes capacités de dispersion conduisant à une forte augmentation de leurs populations.
Par exemple: Renouée du japon, la Pampa,…
Bibliographie:
Site 1: Vikidia
Consulté le: 26/03/2014
Disponible sur: http://fr.vikidia.org/wiki/Biodiversité
Site 2: Le développement durable, pourquoi?
Consulté le: 26/03/2014
Site 3: Écosystèmes Urdaibai
Consulté le: 26/03/2014
Site 4 :Wikipedia
Consulté le: 26/03/2014
Site 5: Vigienature
Consulté le: 26/03/2014
Disponible sur: http://www.vigienature-ecole.fr/la-biodiversite/pourquoi-s-interesser-la-biodiversite/la-biodiversite-menacee-par-l-homme
Site 6:Alterlas
Consulté le: 26/03/2014
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