Pour moi, la sortie à Urdaibai
Bird Center a éte très intéressante.
mercredi 27 novembre 2013
Visite au Urdaibai Bird Center
mercredi 13 novembre 2013
Photosynthèse

La photosynthèse est un processus biochimique qui permet aux plantes, aux algues et certains micro –organismes grâce à l’énergie apportée par les rayonnement du soleil de transformer l’eau et le CO2 en matière organique (hydrates de carbone). La réaction est une oxydation du CO2 par l’eau
Rôle de la photosynthèse
La photosynthèse a pour
but de créer de l'énergie (sous forme de glucide) à partir de
l'énergie lumineuse provenant du soleil. Les organismes qui utilisent le
mécanisme de photosynthèse sont
authotropes car ils fabriquent des matières organiques à partir de
matières inorganiques.
.Mécanisme de la photosynthèse
.Mécanisme de la photosynthèse
L'énergie solaire est utilisée pour oxyder l'eau et
réduire le gaz carbonique afin de synthétiser des substances organiques
(glucides). Ce phénomène a lieu dans les choloroplastes, un
organite spécifique des plantes, au niveau des membranes des
thylacoïdes où se situent les photosystèmes I et II et les cythocromes.
Bibliographie:
Site 1: Photosynthèse
Disponible
sur: http://www.futura-sciences.com/magazines/nature/infos/dico/d/botanique-photosynthese-227/
Consulté
le: 11/11/2013
lundi 11 novembre 2013
L ' écosystéme des marais à Urdaibai
La partie haute:
Les rosières constituent un habitat des plus importants pour la reproduction de certaines espèces d'oiseaux qui trouvent là, nourriture et protection. Leur maintien est donc primordial.(Râle d'eau, Bruant des roseaux, Bergeronnette printanière, Rousserolle effarvatte etc... )
Ces prés ont été gagnés sur d'anciennes zones humides par la construction de digues empêchant l'entrée d'eau salée. Un système d'écluse permettait d'écouler le surplus des eaux pluviales.
Les rosières constituent un habitat des plus importants pour la reproduction de certaines espèces d'oiseaux qui trouvent là, nourriture et protection. Leur maintien est donc primordial.(Râle d'eau, Bruant des roseaux, Bergeronnette printanière, Rousserolle effarvatte etc... )
Ces prés ont été gagnés sur d'anciennes zones humides par la construction de digues empêchant l'entrée d'eau salée. Un système d'écluse permettait d'écouler le surplus des eaux pluviales.
Entre Murueta / Axpe sur la rive gauche et Arteaga / Kanala sur la rive droite. Ici on note une influence marine importante et le marais prend ici toute son ampleur. Les marées conditionnent la vie dans l'estuaire en créant un milieu hostile pour la plupart des plantes. Cependant, un petit groupea développé une adaptation au milieu qui leur permet d'affronter
avec succès la salinité, l'inondation au grés des marées, la
mouvance du sol et le manque d'oxygène. La distance du canal central
conditionne la distribution des plantes.
Sur le bord même du canal on trouve exclusivement ou
presque, l'herbe marine, rare et protégée, qui en dehors des grandes
marées, reste en permanence sous les eaux.
Puis on trouve des bandes formées par la spartéine marine et les salicornes.
Un peu plus loin, Halimione portulacoides et limonium vulgare (rare et protégée par la loi) marquent le niveau moyen des marées dans tout l'estuaire.
Enfin, sur les prairies en permanence humides, les joncs et les roseaux, véritable zone de transition entre le marais et la terre ferme, refuge naturel de bien des oiseaux migrateurs mais aussi aire de nidification par excellence de quelques espèces. La protection de cet habitat s'impose donc.
Puis on trouve des bandes formées par la spartéine marine et les salicornes.
Un peu plus loin, Halimione portulacoides et limonium vulgare (rare et protégée par la loi) marquent le niveau moyen des marées dans tout l'estuaire.
Enfin, sur les prairies en permanence humides, les joncs et les roseaux, véritable zone de transition entre le marais et la terre ferme, refuge naturel de bien des oiseaux migrateurs mais aussi aire de nidification par excellence de quelques espèces. La protection de cet habitat s'impose donc.
A signaler aussi la présence de quelques arbres supportant un fort degré de
salinité et l'inondation temporaire: le tamaris, la saule commun et, prés
de l'influence des eaux douces, l'aulne qui occupe les fondrières. A Busturria,
à proximité du marais, on observe également une zone terrestre artificielle
composée de dépôts de sable provenant du dragage de la Ria
sur d'anciens
polders. Cette zone abrite aujourd'hui, 30 ans après sa création, une flore
adaptée à un substrat pauvre et sec: lagure ovale, camomille, liseron
terrestre, mélilot blanc....
En lisière
de cette zone abondent malheureusement des plantes invasives (Pampa, Baccharia)
provenant d'autres continents et qui éliminent dans bien des cas les plantes
locales.

Suite à une grosse tempête, les dunes de Laida ont disparu vers
1950, et l'action du vent et de la mer ont alors empêché la récupération de la
flore. Depuis 1999, le "Patronato d'Urdaibai" a lancé un projet de
récupération de la plage par la restauration de la dune. Les dunes sont
l'habitat du littoral le plus inhospitalier, dans lequel vivent pourtant des
plantes et des animaux singuliers, la plupart d'entre-eux en danger
d'extinction.
Les dunes consolident et protègent la plage en évitant les pertes de sable. Leur stabilisation évite aussi le transport de sable vers l'intérieur de l'estuaire, limitant ainsi son ensablement.
Bibliographie :
Site 1: Ecosystèmes Urdaibai
consulter le: 11/11/2013
Disponible sur: http://ecosysthemurdaibai.blogspot.com.es/p/blog-page.html
Les dunes consolident et protègent la plage en évitant les pertes de sable. Leur stabilisation évite aussi le transport de sable vers l'intérieur de l'estuaire, limitant ainsi son ensablement.
Bibliographie :
Site 1: Ecosystèmes Urdaibai
consulter le: 11/11/2013
Disponible sur: http://ecosysthemurdaibai.blogspot.com.es/p/blog-page.html
mercredi 23 octobre 2013
Courlis cendré
Description:

La seule espèce qui lui ressemble sur la plus grande partie de son habitat est le Courlis corlieu. Celui-là est plus petit, avec un bec plus court présentant une sorte de pliure plutôt qu'une courbe régulière.
Le Courlis eurasien est une des espèces auxquelles s'applique l'Accord sur la conservation des oiseaux d'eau migrateurs d'Afrique-Eurasie. Sa chasse vient d'être autorisée en France en 2012.
Nom :
Latin: Numenius arquata
Espagnol: Zarapito real
Français: Courlis
cendré
Basque: Zarapito Benetako
Anglais: Curlew real
Régime alimentaire:
Tout le long de l’année, le régime alimentaire
comporte des annélides,
des insectes des crutacés,
des mollusques, des baies et des graines, occasionnellement des vertébrés comme des
petits poissons, des amphibiens , des lézards, des
jeunes oiseaux (et probablement des œufs) et de petits rongeurs.
En hivernage sur le littoral, au cours de la journée, les rythmes
d'alimentation des oiseaux varie d'un site à l'autre. Des différences
importantes furent mises en évidence dans le rythme d’activité des
oiseaux : alors que dans l’estuaire de la Somme les courlis consacrent une
faible part de la période diurne à l’alimentation, tel n’est pas le cas dans
l’estuaire de la Seine où cette activité est très régulière durant la journée
et suit le rythme des marées.
Identification:
Le courlis cendré
est le plus grand des limicoles européens. De la famille des bécassins (anciennement
limnodromes), il se distingue par son long bec incurvé vers le bas qui lui a valu son nom
scientifique Numenius (du grec néoménie : nouvelle lune) etarquata (du latin arcuata : courbé en arc). Ses longues pattes sont gris-bleu, terminées par 4 doigts, c'est un marcheur.
Répartition:
En France, on retrouve généralement le courlis cendré dans la plaine d’Alsace, en Lorraine, en Bretagne, en Normadie et surtout dans le Val de Saône. On note ainsi deux populations principales :
la première sur toute la façade atlantique qui reste toute l’année le long des côtes
la seconde sur l’est de l’hexagone qui migre vers le sud-ouest lors de la période hivernale.
En France, on retrouve généralement le courlis cendré dans la plaine d’Alsace, en Lorraine, en Bretagne, en Normadie et surtout dans le Val de Saône. On note ainsi deux populations principales :
la première sur toute la façade atlantique qui reste toute l’année le long des côtes
la seconde sur l’est de l’hexagone qui migre vers le sud-ouest lors de la période hivernale.
Habitat:
Le Courlis
cendré vit indifféremment sur des terrains secs ou humides, à l'intérieur des
terres ou sur le littoral avec une préférence pour les tourbières et les landes
ne dépassant pas 600 m d'altitude. En France, les principales populations
nicheuses de courlis cendrés occupent la plaine d'Alsace, la Lorraine, le Val
de Saône, la Bretagne et la Normandie.
Hivernage:
Le Courlis cendré présente en France une distribution hivernale essentiellement littorale avec des effectifs tendant à la stabilité au cours de la période 1975-2000.
Le Courlis cendré présente en France une distribution hivernale essentiellement littorale avec des effectifs tendant à la stabilité au cours de la période 1975-2000.
Nidification:
Le courlis
cendré niche dans les prairies
herbeuses, de préférence de faible hauteur, ce qui lui permet d'avoir une
parfaite couverture visuelle de
son territoire. La femelle pond en avril-mai (1 ponte annuelle), 3 à 5 oeufs
beiges, bruns ou olive tachetés de brun plus foncé, qu'elle couvera
alternativement avec le mâle pendant 27 à 29 jours. Le nid est généralement
construit dans un endroit sec à végétation basse, garni de quelques herbes
sèches ou de bruyère. Les poussins nidifugesse nourrissent seuls après quelques
jours seulement mais ne prendront leur envol qu'au bout de 32 à 38 jours. C'est
plutôt le mâle qui les élève
Bibliographie:
Site1 :oiseaux.net
Consulté le: 23/10/13
Disponible sur: http://www.oiseaux.net/oiseaux/courlis.cendre.html
Site 2: Fédération départementale des chasseurs de l'I sère
Consulté le: 23/10/13
Disponible sur: http://www.chasse38.com/le-courlis-cendre
Site3 :oiseaux.net
Consulté: le 23/10/13
Spatule Blanche

Nom:
Basque: Mokozabal zuri
Espagnol: Platalea leucorodia
Anglais: Eurasian Spoonbill
Latin: Platalea leucorodia
Français: Spatule blanche
Espagnol: Platalea leucorodia
Anglais: Eurasian Spoonbill
Latin: Platalea leucorodia
Français: Spatule blanche
Description:
Ordre : Pelecaniformes
Famille : Threskiornithidae
Taille : 0,70 m à 0,90 m (envergure 1,10 à 1,30 m)
Poids : 1,2 à 1,7 kg
Longévité : 25 à 28 ans
La présence de ce grand échassier blanc sur le site ne passe pas inaperçue, de par sa taille (80 à 90 cm), sa couleur (corps entièrement blanc) et sa façon de pêcher. En effet, cet oiseau élégant au bec si particulier - noir à pointe jaune et aplati en forme de spatule - cherche ses proies en balançant la tête de gauche à droite, tout en filtrant l’eau grâce à son bec entrouvert.
La Spatule blanche (platalea leucorodia) est devenue l’emblème du Marais d’Orx, dès son classement en Réserve Naturelle Nationale en 1995. Le site est reconnu en 1996 comme le lieu de la première reproduction de l'espèce
Habitat:
La Spatule blanche fréquente les zones humides très étendues telles que les terres inondées, les fleuves et les marais ainsi que les cours d’eau importants.
Elle nidifie sur les iles, parfois sur la côte, mais le plus souvent près des lacs et des fleuves. Il lui arrive de s’installer dans les roselières avec des buissons et des arbres clairsemés, ou dans la végétation émergente épaisse.
Elle nidifie sur les iles, parfois sur la côte, mais le plus souvent près des lacs et des fleuves. Il lui arrive de s’installer dans les roselières avec des buissons et des arbres clairsemés, ou dans la végétation émergente épaisse.
Régime alimentaire:
La spatule blanche se nourrit de petites proies, qu’elle capture au toucher en sondant l’eau et la vase. Elle mange des insectes aquatiques, des crustacé et des mollusques, mais aussi des amphibiens et des petits poissons. Il lui arrive également d’ingérer des plantes aquatiques. Les sous-espèces vivant sur les bancs de sable mauritanien et sur les côtes de la mer Rouge, mangent également du plancton et du krill
Dès mars, les spatules blanches reviennent à leur site de nidification.Après les parades(toittelage mutuels, huppedressée) le couple construit un nid fait de branchettes et d´aalgues dans un arbre ou dans les roseaux.3 à 5 oeufs sont pondus entre avril et mai, incubés en 24 jours.Les petits commence à voler à 7
semaines, et sont adultes à 3 ou 4 ans.
Zone d'hivernage:
La Spatule blanche est migratrice et hiverne plus loin vers le sud pour la race nominale du Paléarctique. Les races « balsaci » et « archeri » sont sédentaire avec quelques dispersions. Elles voyagent habituellement en formation linéaire et à une hauteur considérable. Sur les zones d’hivernage, on la trouve aussi dans les habitats côtiers abrités, les criques, les deltas, les estuaires et les lagunes côtières.Europe de l'Ouest, Asie centrale, Golfe Persique, Inde, Sri Lanka. Côtes de l'Afrique de l'ouest jusqu'en Mauritanie, côtes de l'Afrique de l'est jusqu'en Somalie.
Zone de reproduction:
L’espèce se reproduit de nouveau sur la Réserve Naturelle du Marais d'Orx depuis 2005. On compte par exemple 8 couples nicheurs avec une reproduction avérée en 2009.
Bibliographie:
Site 1:Spatule Blanche Wikipedia
Consulté le: 23/10/2013
Site 2: M'Arais d'Orx
Consulté le: 23/10/2013
jeudi 10 octobre 2013
Les plantes invasives à Vizcaya

Il y a 26 municipalités avec un très haut
niveau d'invasion et "une hauteur", et Barakaldo et le Bilbao
sont les les plus affectés. Les plantes envahissantes s'étendent sur la Bizkaye
et atteignent une présence très significative dans beaucoup de municipalités,
en affectant gravement à différents environnements naturels. Dans ces moments,
l'expansion affecte aux zones sensibles telles que les bords de rivières, de
plages, d'estuaires, de marais au bord de la mer et d'espaces naturels protégés,
comme la Réserve de la Biosphère d'Urdaibai. De plus, d'autres aires se
trouvent affectées, dans celui lesquelles le transport favorise sa propagation,
comme ce sont les bords, les fossés et talus des chemins, de routes et
d'autoroutes.
Solutions:
Les deux mesures uniques qui peuvent
donner un résultat adéquat : prévenir et éradiquer, "bien que le susdit
seul donne des résultats s'il s'exerce tout de suite. L'éducation
environnementale est un facteur clef pour prévenir l'introduction d'espèces
allochtones envahissantes dans n'importe quelle dépêche du monde. En même
temps, une législation au niveau européen que j'ai évité d'une manière
efficiente l'introduction de toute espèce des espèces étrangères dans l'Union
Européenne.
Bibliographie:
Site 1:Ecologistas en acción
Consulté le : 4/10/2013
Site 2 : laverdad.es
Consulté : le 4/10/2013
Disponible : http://servicios.laverdad.es/nuestratierra/nt21032008/suscr/nec1.html
Migration des oiseaux à Urdaibai
Les oiseaux migrateurs partagent leur vie entre un habitat estival et un habitat hivernal souvent séparés de plusieurs milliers de kilomètres. L’habitat estival est celui de la reproduction, l’habitat hivernal celui de l’attente des meilleurs jours.
Parcourir des milliers de kilomètres deux
fois par an a un coût énergétique très élevé, il présente aussi des risques
pour la vie de l’oiseau. Ces éléments négatifs doivent avoir, en contre partie,
des avantages en termes évolutifs : jours plus longs en période estivale aux
latitudes septentrionales, conditions de vie améliorées en période hivernale
(nourriture plus abondante, environnement climatique moins agressif). Mais
est-ce suffisant ?
La migration
des oiseaux á Urdaibai
Déclarée Réserve
de la Biosphère par l’UNESCO en 1984, ses prés humides, ses jonchaies et sa
zone intermarées constituent un site stratégique de repos pour les oiseaux qui
suivent les côtes atlantiques européennes dans leur migration. De nombreuses
espèces de limicoles peuvent ainsi y être observées, ainsi que la spatule, les
canards et le balbuzard pêcheur.
Les oiseaux
hivernants y sont nombreux, surtout lors des vagues de froid pendant lesquelles
la ria et ses alentours constituent un refuge d'importance vitale pour une
grande quantité d'oiseaux septentrionaux, parmi lesquels certains ne sont
présents que très occasionnellement sur la Péninsule ibérique.
La ria est
environnée de collines couvertes de forêts de chênes verts cantabriques et par
le paysage typique de pâturages dans les zones les plus plates. Les falaises et
îlots proches accueillent d’intéressantes population nicheuses de monticole
bleu, cormoran huppé, aigrette garzette et océanite tempête.
Bibliographie
Site 1 : Blog Hardi
Consulté le : 4/10/2013
Consulté le : 4/10/2013
mercredi 25 septembre 2013
Toujours plus de déchets
L’augmentation
de la consommation et le changement de style de vie, font que les richesses
naturelles du sol sont chaque jour un peu plus exploitées
L’augmentation
de la consommation a également provoqué une augmentation des déchets au point
que certains n’hésitent pas à comparer les ordures à une maladie qui peut en
terminer avec la planète terre: l’infarctus des déchets.
Mais
qu'appelle-t-on déchet?
Tout
produit qui après avoir été fabriqué, touché ou utilisé perd de sa valeur pour
la personne qui le possède.
Le
niveau économique de chacun va conditionner la valeur que l’on donne à chaque
chose et le plus ou moins long usage que l’on va en faire.
Le
concept de déchet, est donc très relatif, puisque on peut considérer déchet
quelque chose qui ne l’est pas pour le voisin.
Et
l'évacuation de nos déchets pose problème d'autant plus que les quantités ne
cessent d'augmenter.
De
tous les résidus produits dans la ville, ceux qui sont le plus en relation avec
notre propre consommation, sont ceux que l’on trouve dans notre sac poubelle.
Agriculture et faim monde

L’explosion
démographique a surpeuplé la planète avec 6 milliards de personnes et une
augmentation annuelle de 95 millions, alors que la surface cultivable est en
train de se réduire avec la progression du désert.
Obtenir
que la population mondiale se stabilise et qu’elle se nourrisse convenablement
est sans aucun doute le grand défi de notre planète.
L'agriculture
intensive est aujourd'hui fortement remise en question et ce n'est pas sans
raison. Dégradation du paysage et du sol, procédés contestables de culture et
d'élevage, mondialisation et appauvrissement de pays déjà en difficulté, mais
aussi risques alimentaires réels.
Derrière
cette agriculture intensive se cachent des enjeux économiques énormes, et le
marché mondial est contrôlé par les grandes industries de l'agrochimie,
propriétaires des herbicides, des pesticides et des semences.
jeudi 19 septembre 2013
L’agriculture en question
Dans la mesure ou
nous obtenons les aliments de la terre, l’agriculture et l’élevage sont la base
de notre culture, notre civilisation.
Tout au long du
20eme siècle, les agriculteurs/agricultrices des pays industrialisés se sont
lancés dans la course folle de la productivité, en ayant recours, chaque fois
un peu plus à l’usage de machines agricoles et de carburant, d’engrais
chimiques, de pesticides…C’est la « Révolution verte ».
Ces systèmes
intensifs de production ont contribué à améliorer notre niveau de vie,
cependant le revers de la médaille est peu brillant : sols dégradés, eaux
contaminées, perte de la biodiversité, aliments avec des résidus dangereux pour
notre santé.
La globalisation
impose ces modèles de production intensive à l’ensemble de la planète, et de
nombreux agriculteurs sont dépossédés de leur terre et se voient obligés à
émigrer vers la « terre promise ». Cette situation provoque la perte
de la vie rurale et sa culture, la pauvreté et la faim dans le monde.
Inscription à :
Articles (Atom)